(Re)découvrez le Parc le Forêt-Boucher!
Créez votre propre expérience dans une nature de proximité
La force de la mobilisation au cœur de sa jeune histoire
Le Parc de la Forêt-Boucher est le projet imaginé par la Fondation pour conserver et protéger la biodiversité du poumon gauche de Gatineau. Il est né d’une puissante mobilisation citoyenne.
Les trois piliers
Le Parc de la Forêt-Boucher est un lieu de plein air urbain de proximité pour tous les citoyens. C’est le deuxième plus grand parc urbain de Gatineau, après celui du Lac-Beauchamp. Ses priorités, elles, sont uniques.
Nos réalisations
L’équipe de la Fondation a débuté les travaux dans le Parc en septembre 2021. Une parenthèse très occupée dans la jeune histoire du Parc et un vent de changement positif sur l’ouest de la ville de Gatineau.
Nos chantiers
Vous êtes curieux de savoir ce qui bouillonne présentement dans le Parc?
Nos projets à venir
En plus de l’entretien régulier des sentiers et des infrastructures actuels dans le Parc, la Fondation réfléchit à des projets à moyen et long terme qui lui permettront de poursuivre sa mission.
Questions fréquentes sur le Parc de la Forêt-Boucher
En attendant que le stationnement à l’entrée principale (500, rue Samuel-Edey) soit construit, beaucoup d’usagers stationnent dans les rues avoisinantes ou entrent par le nord, sur le chemin Antoine-Boucher. Merci de respecter la signalisation en place.
Nous mettons quelques tables de pique-nique à votre disposition, notamment à l’abri piétonnier au cœur de la forêt et dans l’aire d’activités au nord du Parc, sur le sentier du Coulicou.
Assurez-vous de toujours repartir avec vos rebuts, le Parc est un environnement zéro déchet.
Le Parc est ouvert 12 mois par année pour la marche (raquettes l’hiver), le jogging et le vélo (montagne et fat bike), principalement. Les personnes à mobilité réduite peuvent aussi marcher et déambuler sans problème sur le sentier universel du Jaseur, au sud.
Le Parc n’est pas reconnu comme une destination ski de fond, bien que certains usagers le pratiquent, notamment sur le sentier du Coulicou nord. La Fondation ne fait toutefois pas l’entretien.